L’équilibre entre les espèces et l’homme
Par Bernard de Montréal
“Le corps physique, c’est un véhicule. L’âme, c’est une mémoire. L’Esprit, c’est une Lumière, puis avant que ces trois-là, ces trois principes-là soient réellement unifiés dans un processus intégral, ça va être long, ça fait partie de l’évolution. Et l’Homme ne doit pas se méprendre, mystifier ou “occultifier” sa relation avec les plans, quelles que soient les facultés psychiques qui découlent de son contact avec eux.
Il y a une personne qui me demandait la semaine passée : “qu’est-ce que vous voulez dire par intégrer notre énergie”… Ma réponse, c’était celle-ci, je disais : “qu’intégrer son énergie, c’est s’amener éventuellement à reconnaître que la moindre relation avec les plans est une relation de mensonge, la moindre”…
N’oubliez pas que sur la Terre, on a été pendant des millénaires allaité au concept de la vérité. Les philosophies l’ont fait, les religions l’ont fait, les systèmes politiques l’ont fait, les idéologies l’ont fait ! Toutes les civilisations l’ont fait. On a été allaité au concept de la vérité, on a été mis en opposition au concept du faux.
Et un jour, on sera obligé au niveau de notre maturité d’en arriver à neutraliser cette façon de penser là, pour pouvoir finalement connaître, comprendre les Lois occultes du Réel. Les mondes, les sphères ne sont pas à la mesure de la conscience animalisée, institutionnalisée, de l’Homme aveugle sur la Terre.
Il y a des gens qui disent : “comment ça se fait qu’il y a des extraterrestres qui viennent sur la Terre puis qui s’en vont dans un champ, puis qui font des études sur les animaux ou qui prennent les Hommes, puis qui les rentrent dans leur vaisseau, ainsi de suite, leur font passer des examens ! Ils n’ont pas le droit de faire ça”… Ça, c’est le concept de la vérité qui nous fait parler comme ça. C’est la polarité du vrai et du faux qui nous fait parler comme ça. C’est l’institution psychologique idéationnelle du mal sur notre planète qui nous amène à des réflexions comme ça.
Vous autres, quand vous prenez des animaux, des chiens, des chats, des singes dans le laboratoire, vous faites exactement ce qu’eux autres font avec nous autres. Pourtant, on rationalise facilement, puis on dit : “ah, ben, on fait des expériences avec les singes parce que c’est bon pour la science et la distribution des bienfaits scientifiques pour l’Humanité”… D’accord, mais demande ça au singe pour voir ce qu’il va te dire !
Alors qu’est-ce qui peut empêcher un singe de se faire violer son droit de vivre par une autre sorte de singe un petit peu plus évolué qui est l’Homme ? C’est sa capacité de conscience. Si le singe était sur la table et qu’il disait : “qu’est-ce que c’est que tu fais là, mon tabarnak, tu veux me passer un scalpel dans le cerveau, tu n’as pas le droit de faire ça, je vais te cracher dans la face”… Là, l’Homme aurait un choc, il dirait : “tu parles, tu m’as parlé”… Puis là, toute la dynamique entre le singe et l’Homme changerait.
Là, le gars, le médecin, il ferait une conférence de presse puis il dirait : “il y a un singe qui refuse d’être opéré, il me l’a dit”. Là, tout le monde serait d’accord qu’on n’opère plus les singes parce que le singe le dit. Mais il n’y a rien que le singe qui le dit ! Ça fait que là, on dirait : “ben, on va essayer sur les brebis, puis on va essayer sur les chiens, puis on va essayer sur les chats”… Tant que quelqu’un ne l’aura pas dit, on aura le droit de leur passer le scalpel parce que tant que tu n’as pas dit, tu n’as pas d’identité !
TANT QUE TU N’AS PAS DIT, TU N’AS PAS FAIT VIBRER TA CONSCIENCE, TANT QUE TU N’AS PAS DIT, LA LUMIÈRE N’EST PAS EXPOSÉE SUR TON PLAN !
Quand l’Homme dira sur la Terre, quand l’Homme aura la conscience pour dire sur la Terre, à n’importe quelle espèce qui vient vers lui, qu’il ne peut pas être dominé, qu’il ne veut pas être dominé, qu’il est prêt à faire la guerre contre la domination, LE RAPPORT ENTRE LES ESPÈCES ET L’HOMME S’ÉQUILIBRERA”
Bdm
Source Groupe Facebook Intelligence Réelle BdM
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