La ionosphère est une caisse de résonance évolutionnaire
Via Sam Samuel Art
« Gratitude à Sam pour son temps de recherche approfondi pour nous informer. »
~ Team Révélations
La résonance Schumann en est le véhicule ondulatoire informationnel !
Essayant de comprendre l’influence électromagnétique de notre organisme et de notre environnement, cela m’oblige à réviser mon jugement sur le fait d’avoir affirmé que la Résonance Schumann n’était pas reliée aux ondes de notre cerveau et n’avait aucune incidence, ce qui n’est assurément pas le cas.
En Note* de bas de page, un rapide rappel de ce qu’est la Résonance de Schumann ainsi que les différentes ondes du cerveau et leurs correspondances en terme d’états de conscience.
J’ai repris l’article censuré par FB et en ai fait une compilation, mais j’en ai trouvé la source originale que l’on peut consulter ici : https://holographicarchetypes.weebly.com/schumann…
Ce qui suit est un peu long et bien qu’il soit quelque peu difficile d’examiner ce type d’informations, il est vivement recommandé de le faire parce qu’elles fourniront les connaissances de première main nécessaires pour comprendre le caractère énergétique de l’existence.
Pour les personnes concernées, cela signifie qu’en terme d’ascension énergétique et d’évolution, cela a une influence considérable.
La compréhension de l’évolution énergétique dépend d’une compréhension de l’entraînement ou de la résonance sympathique. Nos corps sont en harmonie avec le champ électromagnétique et la sortie de la Terre, qui est à son tour, harmonique avec le soleil, qui est à son tour, harmonique avec la galaxie, et ainsi de suite.
Cela signifie que littéralement tout le cosmos joue un rôle dans ce qui se passe ici sur Terre.
Ce que ces découvertes impliquent va bien au-delà de ce que l’on pourrait imaginer et expliquent de nombreux ressentis, une conscience accrue jusqu’à des perceptions extrasensorielles.
Lorsque les pics de la Résonance de Schumann ont lieu, cela signifient que l’énergie entre dans la terre, et avec elle, des informations qui joueront un rôle incontestable dans l’évolution.
L’ionosphère est une région hautement conductrice du plasma cosmique, une mer d’électrons libres – des ions, il sonne et résonne comme une diapason.
En effet, la cavité résonnante formée entre l’ionosphère et la Terre produit des ondes rythmiques capables d’entraîner et de verrouiller la phase avec des ondes cérébrales.
Les rythmes et les pulsations du cerveau humain reflètent ceux des propriétés résonnantes de la cavité terrestre, qui fonctionne comme un guide d’ondes.
De plus, le signal de résonance de Schumann est extrêmement et fortement corrélé avec les indices de l’activité géomagnétique solaire, du nombre de taches solaires et de l’indice Kp.
Les tempêtes géomagnétiques sont la cause des changements magnétiques produits par les tempêtes ionosphériques, et sont ainsi associées à des conditions capables de changer les signaux de la Résonance de Schumann.
Le cerveau est une source massive de signaux d’Extrêmes Basses Fréquences (ELF) qui se transmettent dans tout le corps à travers le système nerveux, qui est sensible aux champs magnétiques. Les ondes cérébrales et les biorythmes naturels peuvent être entraînés par de forts signaux ELF externes, tels que les ondes stationnaires aux résonances de Schumann.
Le cerveau est un système électromagnétique synchronisé par le signal de Résonance de Schumann, qui stabilise en permanence l’activité des ondes cérébrales. Elle module les points d’assemblage de notre conscience et de notre biologie.
Les tissus vivants détectent, absorbent et utilisent les signaux électromagnétiques dans certaines gammes de fréquences et ignorent complètement d’autres fréquences naturellement rencontrées dans le spectre des fréquences. Nous sommes « en accord » avec les Résonances de Schumann qui animent les modèles ELF des ondes cérébrales dans une gamme définie de fréquences groupées.
L’entraînement, la synchronisation et l’amplification favorisent une activité cohérente à grande échelle plutôt que des averses typiques d’ondes cérébrales transitoires, ce qui nous permet de vaquer à différentes occupations et activités cérébrales sans être (trop) perturbés.
Ainsi, les ondes stationnaires résonnantes émergent du cerveau, ce qui, dans les bonnes conditions, facilite le transfert interne et externe de bio-informations via les ondes électromagnétiques ELF.
Ces ondes de Résonances Schumann présentent un caractère non local et une capacité de communication quasi instantanée.
Les périodes de grandes créativité sont corrélées à l’activité solaire :
Il a été étudié une association entre l’activité solaire et les oscillations dans la créativité humaine. Ses résultats ont montré qu’au cours de l’activité solaire accrue, l’activité créative humaine a également culminé.
L’influence sur les systèmes nerveux humains est la plus grande pendant les pics d’énergie émis par le soleil et les radiations de la Terre. Les liaisons chimiques sont des liaisons magnétiques, formées entre des atomes adjacents à travers des électrons appariés, ayant des spins opposés et donc attirés magnétiquement.
De plus, d’autres recherches ont démontré que beaucoup de guérisseurs qui se sont prêtés à ces expériences ont produit des modèles d’ondes cérébrales similaires quand ils effectuaient une guérison… tous les guérisseurs ont enregistré une activité des ondes cérébrales en moyenne d’environ 7,8 à 8 cycles/seconde…
Il a été réalisé des études supplémentaires sur certains des sujets montrant que pendant les moments de guérison leurs ondes cérébrales se mettaient en phase et en synchronisation de fréquence avec les micropulsations géoélectriques de la Terre – la résonance de Schumann.
Une hiérarchie des fréquences couple ainsi notre moi psychophysique à la fréquence harmonique de la charge électrique de la Terre, qui pulse naturellement aux mêmes fréquences. Ce n’est pas un hasard, car nous sommes des produits adaptables de notre environnement.
Nous sommes constitués de lignes de champ qui sont le résultat des différentes réactions biochimiques dans l’organisme. Ce bio-champ qui en résulte nous associe au champ iso-électrique de la planète.
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“… que la résonance de Schumann peut être le substrat d’un mécanisme de perception extrasensorielle de type radar commun à tous les êtres vivants. Comme l’eau rebondissant des roches et d’autres objets immergés, cette fréquence non spécifique est absorbée et réalignée dans des schémas d’interférence uniques par tous les objets qu’elle rencontre.
Ce motif d’interférence est un composite de propriétés externes et internes, car les atomes constitutifs, les molécules et leur assemblage global retransmettent cette énergie selon leurs configurations spécifiques.
Non seulement cela, mais les « ondes sonores » peuvent être modulées en fréquence et en motif par intention consciente afin de produire des informations spécifiques (modèles d’interférence). Décodé par le cerveau, ils reviennent presque instantanément sur le « dos » de la Résonance de Schumann”.
Plus loin :
” Dans un essai de première réflexion sur la présence de fréquences de Schumann dans l’EEG au cours de diverses pratiques de guérison, il a été proposé que l’intention mentale puisse fonctionner comme une fenêtre variable d’émission/réception dans l’échange d’informations extrasensorielles, qui se raccordaient à la résonance de Schumann pour transporter ces informations de bio-régulation sur des cibles distantes et a agi comme une interface capteur de type radar primitif (Sidorov 2001).”
Ou encore :
” Les réseaux de cristaux liquides ubiquitaires du corps et leurs possibilités de configuration presque infinies en font un candidat de premier plan pour les récepteurs sensoriels primaires que la parapsychologie a cherché.
Il est même concevable que les propriétés de conjugaison de phase de l’ADN (voir Popp et Chang, 1998) lui permettent de fonctionner comme une antenne multimode, modifiant sa fonction en fonction des champs de signaux environnants et éventuellement agissant non seulement comme un programme réglementaire, mais aussi comme un élément de perception “extrasensoriel “. (Sidorov)”
Il n’empêche, qu’outre les vents solaires et les rayonnements cosmiques affectent la Résonance Schumann et que cette dernière agit comme un substrats, elle est un véhicule informationnel tout en participant à l’homéostasie de l’organisme, tant au niveau cellulaire, endocrinien et nucléide (ADN & ARN).
” Les processus fonctionnels peuvent être modifiés et de nouveaux modèles de comportement sont facilités par le réseau de réseaux de rétroaction inhibiteurs et excitateurs du cerveau.”
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” Tous les processus biologiques sont fonction des interactions de champ électromagnétique. Les champs EM sont le lien de liaison entre le monde de la forme et les motifs résonnants.
Ils stockent des gestalts ou des modèles d’information. Le pont reliant les résonances du système solaire et les fréquences cérébrales réside dans notre hélice d’ADN humain, qui a co-évolué dans l’environnement terrestre.”
Il semblerait donc qu’il soit question de captage d’information instantanée non local par magnéto-réception, c’est à dire des informations émises d’un point non localisable (émanant de la noosphère, de la mémoire universelle ou d’une autre dimension) véhiculées par des particules photoniques et/ou électromagnétiques, rayonnements galactiques, particules des vents solaires, relayées par le champ électromagnétique de la résonance de Schumann qui viendrait croiser notre champ électromagnétique et nos ondes cérébrales, créant un motif d’interférence décodé par le cerveau.
Aussi, les différentes manifestations et ressentis, particulièrement les scintillements ou sifflements auditifs avec cet état de conscience si particulier sont amplifiés par le vecteur des fréquences de la résonance de Schumann se comportant tel un substrat.
La ionosphère qui entoure la terre est donc une formidable caisse de résonance !
Entre la ionosphère et les cavités de la croûte terrestre, tout dépend si il y a des facteurs qui viennent exciter le champ électromagnétique de la terre, particulièrement la ionosphère.
Ce qui est important à retenir, c’est la puissance d’amplification, la hauteur de la fréquence de résonance qui fait écho dans nos propres fréquences physiques et cérébrales qui a leur tour entrent en résonance, d’où des ressentis et des phénomènes physiques et psychiques, intuitifs, créatifs, cognition accrue voire extrasensoriels.
Ces réajustements sur la résonance Schumann mais aussi celles d’autres énergies qui se synchronisent est une forme de syntonisation, un accord parfait entre deux champs d’énergie, d’ondes ou fréquences, comme quand on fait vibrer un diapason à côté d’un autre, l’autre se met à vibrer à la même fréquence. On parle alors de résonance sympathique
Toutes les manifestations et les malaises que nous ressentons durant ces périodes d’amplification n’est rien d’autre que la traduction que nous sommes juste en train de nous ajuster à ce changement de résonance, il n’y a donc rien à faire si ce n’est de n’offrir aucune résistances.
Parmi les différentes illustrations proposées, nous remarquerons l’infinie ressemblance et la corrélation frappante entre la structure de l’univers et la structure de notre système nerveux et neuronale.
Nous sommes donc « câblés » par un enchevêtrement de connexions de même nature et donc intimement reliés entre nous, avec tout le Cosmos. Ce qui révèle toute la portée de l’adage Hermétique selon lequel :
« Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ».
Que de vibrantes fréquences et de belles harmoniques nous traversent
Excellente semaine et joyeux moments
* NOTE
L’ionosphère étant une couche très chargée, elle forme un condensateur avec la Terre.
La foudre est la source d’énergie la plus courante pour ce que l’on appelle l’excitant les Résonances Schumann parce qu’elle agit comme une antenne, rayonnant des impulsions d’énergie électromagnétique dans la gamme extrêmement basse fréquence qui est résonnante avec l’ionosphère. Il se déplace vers l’extérieur le long de la surface de la terre et l’atmosphère comme un caillou qui frappe un étang.
Mais d’autres facteurs viennent exciter l’atmosphère et faire sonner des fourchettes plus élevées :
Les rayons cosmiques, les éjections de masse coronale, les cycles lunaires, le vent solaire, et la manière la plus frappante, les sources EM artificielles comme HAARP, ont tous la capacité d’exciter la cavité de Schumann pour produire des pics dans les gammes supérieures.
La caisse de résonance Schumann dans la fréquence de la Terre, c’est la nature de la cavité entre la surface de la Terre et l’ionosphère, espace défini dont la hauteur fluctue peu et qui fait office de guide d’ondes.
Un peu comme le son d’une guitare bruyante branchée sur un amplificateur entonne un tambour clair à proximité, ou un son fort dans une maison qui secoue les fenêtres, ou le son d’un écho dans une vallée ou un canyon, l’atmosphère « sonne comme une cloche » quand elle est excitée, mais la sonnerie est électromagnétique, au lieu d’être sonore.
La résonance de Schumann habituellement appelée ainsi, est la Résonance Fondamentale de Schumann. Elle a une fréquence moyenne d’environ 7,83 Hz. Cette résonance fondamentale de Schumann est la résonance avec la plus grande intensité (force).
Cette résonance se décline en fréquences partielles (14,3 Hz, 20,8 Hz, 27,3 Hz, 33, 39, 45 et 59 Hertz). Ces fréquences partielles résonnent un peu comme les harmoniques d’une note de musique dans la caisse de résonance de son instrument.
la Terre se comporte comme un énorme circuit électrique. L’atmosphère est en fait un conducteur faible. Cette résonance peut être influencée par la foudre, certaines anomalies environnementales, les vents Solaires et les rayonnements Cosmiques.
Il y a un flux de courant vertical entre le sol et l’ionosphère :
Entre la surface terrestre presque parfaitement conductrice et l’ionosphère, une cavité résonnante se forme. Les impulsions électromagnétiques à large bande, comme celles des éclairs, remplissent cette cavité et créent globalement les résonances de Schumann à des fréquences comprises entre 5 et 50 Hz
Les magnétomètres standard ne sont pas capables de mesurer les résonances de Schumann, et les enregistrements qui sont fait à différents point de la planète ne sont pas tous identiques.
FRÉQUENCE DES ONDES CÉRÉBRALES
Les bandes de fréquences et les caractéristiques des ondes sont décrites comme suit :
Vagues cérébrales (8 à 12 cycles par seconde) Cette onde cérébrale indique un état d’esprit détendu. L’état de vigilance détendu, bon pour l’inspiration et les faits d’apprentissage rapides. Un esprit méditatif. Dans cet état, puiser dans des qualités « antenne » internes.
Des visions, des idées puissantes, une création insensée de l’incroyable. Sensation et sensations internes. Theta Brain Waves (4 à 8 cycles par seconde) Méditation profonde. Une pensée profonde intérieure. Cela est associé à une imagination vivante. État de concentration mental élevé. Un esprit magique. Images internes / visualisation. Intuition, orientation intérieure.
Accès à des matériaux inconscients. Rêver. Des études ont montré que l’apprentissage dans l’État d’Alpha améliore les résultats des élèves. Il développe également l’intérêt des études pour les étudiants plus qu’ils n’ont jamais appris dans un environnement tendu.
Des lacunes fréquentes de 2 à 3 minutes après chaque période d’étude de 30 minutes détendent leurs esprits et l’état alpha prouvera son efficacité avec beaucoup de facilité et de plaisir. Mais l’apprentissage ne se contente pas d’absorber l’information, donc changer l’état d’esprit pour faire fonctionner Beta, Alpha et Theta est le plus susceptible de produire les meilleurs apprentissages, la meilleure cognition et la meilleure créativité, tout en restant dans un état d’assouplissement.
Les ondes gamma (25-60 Hz) semblent être liées au traitement simultané d’informations provenant de différentes zones du cerveau, par exemple en impliquant de la mémoire, des capacités d’apprentissage, des pensées intégrées ou un traitement de tâches riches en informations.
Les rythmes gamma modulent la perception et la conscience, qui disparaissent avec l’anesthésie. L’activité synchrone à environ 40 Hz apparaît impliquée dans la liaison des entrées sensorielles dans les objets uniques et unitaires que nous percevons.
Les ondes bêta (12-25 Hz) dominent notre état de conscience normal lorsque l’attention est dirigée vers les tâches cognitives et le monde extérieur. La bêta est une activité « rapide », présente lorsque nous sommes en alerte ou même anxieux, ou lorsqu’il s’agit de résoudre des problèmes, de juger, de prendre des décisions, de traiter l’information, d’agir mentale et de se concentrer. Le prix Nobel Sir Francis Crick et d’autres scientifiques pensent que la fréquence bêta de 40 Hz pourrait être la clé de l’acte de cognition.
Des ondes alpha (7-12 Hz) sont présentes pendant le rêve et la méditation légère lorsque les yeux sont fermés. Comme de plus en plus de neurones sont recrutés à cette fréquence, les ondes alpha cyclent à l’échelle mondiale sur l’ensemble du cortex.
Cela induit une relaxation profonde, mais pas tout à fait de la méditation. En alpha, nous commençons à accéder à la richesse de la créativité qui se trouve juste en dessous de notre conscience consciente.
C’est la passerelle, le point d’entrée qui mène à des états de conscience plus profonds. Les ondes alpha contribuent à la coordination mentale globale, au calme, à la vigilance, à la conscience intérieure, à l’intégration de l’esprit/du corps et à l’apprentissage.
Alpha est également la maison de la fréquence des fenêtres connue sous le nom de SR, qui se propage avec peu d’atténuation autour de la planète. Quand nous générons intentionnellement des ondes alpha et que nous entrons dans la résonance avec cette fréquence de la Terre, nous nous sentons naturellement mieux, rafraîchis, en alternance, en synchrone. Il s’agit en fait d’une synchronisation environnementale.
Les ondes de thêta (4-7 Hz) surviennent le plus souvent dans le sommeil mais sont également dominantes dans les états de méditation les plus profonds (sommeil du corps/esprit éveillé) et la pensée (passerelle vers l’apprentissage, mémoire).
Dans le thêta, nos sens sont retirés du monde extérieur et concentrés sur les signaux d’origine interne. Les ondes de thêta sont associées au mystère, un royaume insaisissable et extraordinaire que nous pouvons explorer.
C’est cet état de crépuscule que nous ne connaissons normalement que de manière éphémère lorsque nous montons des profondeurs de delta au réveil ou à la dérive. Dans le thêta, nous sommes dans un rêve éveillé ; des images vives éclatent devant l’œil de l’esprit et nous sommes réceptifs à l’information au-delà de notre conscience consciente normale.
La méditation thêta augmente la créativité, améliore l’apprentissage, réduit le stress et éveille l’intuition et d’autres compétences de perception extrasensorielle.
Les ondes delta (0-4 Hz) sont les plus lentes mais les plus élevées en amplitude. Ils sont générés dans la méditation la plus profonde et le sommeil sans rêve. Les vagues du delta confèrent une suspension de l’existence extérieure et constituent les sentiments de paix les plus profonds.
De plus, certaines fréquences dans la plage delta déclenchent la libération d’une hormone de croissance qui est bénéfique pour la cicatrisation et la régénération. C’est pourquoi le sommeil, un sommeil réparateur profond, est si essentiel au processus de guérison.
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