L’éclipse totale du 8 avril 2024
Par Sandra Vimont
Dans la formation de Soins énergétiques de niveau 2, nous avons fait l’exercice d’aller voir les effets énergétiques/psychiques de l’éclipse solaire qui s’en vient. Voici un résumé de nos observations.
Nous avons perçu que la progression de la Lune devant le Soleil correspondait à une montée de la fascination, mais aussi à une montée hypnotique chez les observateurs. Les forces descendantes étaient très fortes et généraient un obscurcissement graduel du plexus solaire des gens (et peu importe s’ils portaient des lunettes ou non, et aussi dans une mesure un peu moindre lorsqu’ils regardaient le phénomène en direct via un écran). Nous savons qu’un obscurcissement complet de ce centre d’énergie correspond à une satanisation de l’être.
Lorsque la Lune a complètement caché le Soleil, les forces descendantes se sont amplifiées et ont commencé à attaquer dierctement la psyché des observateurs. Démons et entités ont visé les gens pendant tout le reste de l’éclipse. Toutes les personnes dans notre groupe ont ressenti des malaises.
À la fin de l’exercice, nous avons dû prendre un moment pour nous assurer que personne n’avait de séquelles.
Quelle est notre conclusion ? L’observation de l’éclipse solaire qui s’en vient est périlleuse : attaques ciblées principalement aux yeux et au plexus solaire des gens. Il est préférable de ne pas la regarder.
Qu’est-ce qui peut aider ? Assurez-vous que l’énergie sort de vos yeux plutôt qu’entrer. Vérifiez régulièrement votre plexus solaire et assurez-vous qu’il ne se fait pas assombrir. Au besoin, remettez-y de la brillance (cela se fait par intention). D’ailleurs, il existe plusieurs trucs pour suivre la progression du phénomène sans le regarder : https://espacepourlavie.ca/une-eclipse-dans-une-boite… . Ces méthodes semblent être les moins dommageables.
Les gens de notre groupe ont travaillé à amoindrir les effets de l’éclipse solaire. Plus le Soleil était noir, plus ils devaient rayonner ensemble avec leur plexus solaire. De cette façon, il est possible d’atténuer l’impact du phénomène (sur soi mais aussi sur la collectivité). Voilà ce que je ferai le 8 avril !
Source Facebook Sandra Vimont
