Aujourd’hui 22 décembre, c’est le Solstice d’Hiver

Aujourd’hui 22 décembre, c’est le Solstice d’Hiver

Par Philippe François

Au cours de l’année, le soleil passe par quatre points cardinaux :
21 mars, équinoxe de printemps;
21 juin, solstice d’été;
21 septembre, équinoxe d’automne
et 21 décembre, solstice d’hiver.

Durant ces quatre périodes, il se produit dans la nature de grands afflux et circulations d’énergies qui influencent la terre et tous ses habitants.
Il existe (à travers l’histoire, la mémoire) un monde, dont la vie semble permanente, s’exprimant au travers de cycles quelle qu’en soit leur durée (annuelle, hebdomadaire, mensuelle) ou des cycles beaucoup plus longs, appelés cycles de précession des équinoxes.

La Terre approche de la fin d’un cycle précessionnel se traduisant par le passage de l’ensemble du système solaire par un alignement avec le centre galactique nommé Alcyone, La Source.

L’impact d’un alignement, quel qu’il soit, est un réajustement se produisant aussi bien en l’homme que sur l’ensemble de ce système solaire se préparant à son alignement.

Cet alignement a toujours traduit la fin et le début, concomitant, d’un autre cycle.

L’habitude est prise, pour l’homme, en incarnation, de nommer « vie » ce qui nous semble animé, ce qui vous semble croître puis décroître, apparaître puis disparaître, à l’échelon d’une journée (pour le soleil), à l’échelon d’une vie animale, végétale ou humaine.

Ce qui vient sur cette Terre, ce qui se déroule sous nos yeux, dans notre chair, n’est rien d’autre que la disparition des zones les plus denses que nous avons nommées « vie » et « mort ».

Cette disparition s’accompagne d’une translation de la conscience au sein d’un autre environnement n’ayant strictement plus rien à voir avec ce monde et son Au-delà nommé astral.

Aujourd’hui, sur cette Terre, il n’existe plus aucun obstacle à la réalité de l’Ascension, elle-même, visant à nous faire, sortir de tout cycle, de toute naissance et de toute renaissance…

L’être humain en incarnation est obligé, de par les conditions mêmes de sa vie, de se soumettre aux habitudes. (les besoins physiologiques, les activités les plus ordinaires comme les plus habituelles) se répètent inlassablement, de jour en jour, de mois en mois, d’année en année, tout au long de ce qui est appelé « Notre vie ».

Cette succession et cette répétition d’éléments cycliques correspondent à l’enfermement au sein d’un temps linéaire : passé, présent et futur.

Notre conscience (tant qu’elle n’est pas retrouvée, dans son Absolu) va envisager, de par ce regard particulier, une linéarité présente, même au-delà de l’Au-delà astral.

Ceci n’est tout bonnement pas possible. Il n’existe aucune habitude au sein de l’Absolu.

Les circonstances et les conditions de vie, telles que nous les connaissons n’existeront tout simplement plus, nous faisant découvrir, une fois le choc passé, ce que nous sommes, en Vérité.

Les Voiles occultent la Vérité.

L’occultation de la Vérité induit le manque, induit la répétition et induit la peur. La peur est le résultat de l’habitude.

Une habitude, quelle qu’elle soit, ne fait que nous mettre face à des actes automatiques, à des actes répétitifs, dont la seule stratégie est de nous faire éviter l’inconnu et de nous en prémunir.

Ceci ne peut exister au sein des Mondes Libres, non soumis à une quelconque linéarité du temps, ni à de quelconques forces nommées gravitationnelles.

Ce qui nous attend n’est pas la mort. Ce qui nous attend n’est pas une naissance mais, réellement, une Translation Dimensionnelle.

L’action des Cavaliers, l’action des Éléments, vient donc achever le travail de dissolution de la matrice, la dissolution des Lignes temporelles, comme des Lignes de prédation.

Le contact avec les autres Dimensions devient de plus en plus fréquent. Ce qu’il convient de faire, c’est, justement, de laisser faire ce qui se déroule. Il n’y a pas de meilleure façon de préparer le moment final de la Terre qu’en réalisant ce qui se passe, en le laissant œuvrer, en nous,
sans chercher de sens ou de signification, en nous immergeant, en totalité, dans ce qui se produit…

Le constat alors apparaît dans le basculement, d’un côté la part humaine (la personne disparaît), on est là sans être là, cela a été appelé, l’infinie absence ou Ultime absence, (absence a soi-même)
et de l’autre côté, même si les disparitions sont vécues comme des rapts, des appels, des aspirations, (afin de vivre la lumière et le cœur d’Éternité)

On est de plus en plus conscient, et réveillé, la Part Divine ou Présence apparaît, ça a été appelé, l’infinie Présence ou Ultime Présence…
C’est un vécu dans la Présence..

On ne disparaît donc pas, puisqu’on est de plus en plus conscient… C’est en fait une vie dans notre contre partie invisible, ou double… sourire…

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